Compris dans le silence entre vagues et minuit

J’ai joué aux jeux non pour la victoire, mais pour le silence entre les vagues. Hier soir, seul dans mon appartement de Brooklyn, j’ai ouvert «Starlight Key» — pas comme un mécanicien de jeu, mais comme un journal. Le rythme n’était ni sur le RTP ni sur le néon flashy. C’était ce moment où ton cœur s’arrête après avoir défilé minuit : ta respiration ralentit, et pour la première fois, tu te sens vu — non par des chiffres, mais par un sentiment.

Je me souviens avoir lu «Deep Sea Mémoire» à 2h, casque aux oreilles, observant les lumières corallines pulser comme des souvenirs lointains. Un inconnu a écrit : «Je ne savais pas que j’étais assez… jusqu’à ce que quelqu’un l’a dit à voix haute.» Cette phrase m’a accompagné plus longtemps qu’aucun badge.

Dans ce monde de marées numériques, nous n’avons pas besoin de conquérir les océans — nous avons besoin d’être tenus par eux. Les algorithmes ne récompensent pas la victoire ; ils reflètent notre courage silencieux. Tu n’as pas besoin d’être parfait pour être aimé — tu dois simplement te présenter.