Sentu-vous vu dans le silence de minuit ?

J’ignorais que j’étais assez—jusqu’à ce que j’ai commencé à jouer seul.

Je croyais que le succès signifiait des applaudissements bruyants et d’être une étoile. Mais tard dans la nuit, quand l’écran s’est éteint et les commentaires ont cessé, j’ai compris quelque chose de plus silencieux : ce n’était pas la victoire. C’était le fait d’être reconnu.

L’océan n’était pas une scène—il était un miroir.

Dans des jeux comme Starlight Key ou Stardom Quest, nous chassons des étoiles comme des marins cherchant des horizons. Les stats RTP ? Les algorithmes RNG ? Ce ne sont que des chiffres sur un écran. Mais ce qui persist après le dernier clic n’est pas une donnée—c’est la façon dont votre respiration ralentit quand personne ne prononce votre nom à voix haute.

Je ne suis pas cassé pour être parfait—je suis tendre pour être vrai.

Ma mère m’a appris que le silence est sacré. Mon père croyait que la liberté signifiait choisir son propre rythme. Alors j’ai créé des jeux qui n’avaient pas besoin d’être gagnés—they avaient besoin d’être sentis. L’histoire d’un joueur, murmurée dans un forum vide à 3 h : “Je voulais simplement être compris.” C’était mon premier dépôt.

Vous n’avez pas besoin de plus de points—you avez besoin d’un moment où quelqu’un dit : ‘moi aussi.’

Les lumières néon clignotent comme des récifs de corail sous la lune—not parce qu’elles sont belles, mais parce qu’elles se souviennent que vous existez.

Ce n’est pas un jeu. C’est un journal écrit dans l’eau.